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À propos de nous

Communauto est arrivé dans la plus grande ville du Canada en novembre 2018 avec 200 voitures, dans le cadre du projet pilote de véhicule en libre-service sans réservation de la Ville de Toronto.

Communauto qui a apporté ses 25 ans d’expertise en autopartage dans la ville reine est rapidement devenu un jalon important pour la Ville qui cherche à accroître les options de transport durable, tout en réduisant la propriété de véhicules personnels et la demande de stationnement.

Notre objectif n ° 1? Rendre l’autopartage aussi accessible que possible afin que, avec nos membres, nous puissions avoir un impact tangible sur l’environnement et la façon dont nos villes évoluent grâce à une utilisation réduite de la voiture. Nous voulons nous assurer que chaque voiture sur la route est utilisée à sa pleine capacité, et nous pensons que l’autopartage est la meilleure façon d’y arriver.

Communauto Toronto appartient à la société Communauto, dont le siège social est à Montréal. Communauto, fondée en 1994, est le plus grand opérateur d’autopartage au Canada et le plus ancien en Amérique du Nord. Les synergies qui en découlent profitent non seulement aux Torontois, mais à tous les membres de Communauto: d’Halifax à Edmonton, ainsi qu’à ceux de Paris, en France. Les membres de l’équipe de Communauto travaillent de concert avec les communautés locales de partout au pays pour offrir le service d’autopartage de Communauto le plus adapté à leurs besoins.

Bilan environnemental

Un impact environnemental positif indéniable

De nombreuses études sur l’autopartage, réalisées à travers le monde, confirment que la voiture partagée occupe un créneau spécifique dans le domaine du transport des personnes et que cette formule n’a pas tendance à se substituer aux autres modes de transport disponibles. Ce service a, par ailleurs, une influence importante :

  • tant sur la réduction du nombre de véhicules en circulation;
  • que sur la diminution de l’utilisation de la voiture;
  • que sur la réduction de la consommation d’énergie, des émissions de gaz à effet de serre et des autres émissions polluantes.

Réduction du nombre de véhicules en circulation

Un sondage réalisé par Communauto, en 2019, a révélé qu’un Torontois sur cinq (20%) serait ouvert à la possibilité de se départir de son véhicule personnel et d’utiliser un service d’autopartage en remplacement.

Au Québec, chaque véhicule en autopartage mis en service par Communauto se substitue, en moyenne, à une dizaine de véhicules personnels (données provenant de nos enquêtes interne réalisées entre 2004 et 2019). Ce ratio tient compte du nombre d’utilisateurs qui se sont départis d’un véhicule et de ceux qui ont renoncé à l’achat d’une voiture suite à leur adhésion au service.

Cette valeur est de l’ordre de 3 pour 1 à Toronto, où seul le volet FLEX de notre offre est présentement disponible et de 5 à 8 pour l’ensemble du territoire Français (source : Enquête nationale sur l’autopartage, 2019).

Ces écarts, d’un endroit à un autre, s’expliquent par des différences dans le contexte urbain mais aussi par des différences dans les méthodologies utilisées et dans la définition des services offerts : service en boucle avec station versus en « trace directe » sans station (comme notre volet FLEX), véhicules accessibles avec possibilité de les réserver à l’avance, ou non, variabilité des structures tarifaires, etc. Un fait demeure, cependant : partout où ce service est offert, l’autopartage permet de réduire les besoins en espaces de stationnement et, par le fait même, de diminuer la pression que l’automobile exerce sur le milieu urbain.

Réduction de l’usage de l’automobile

De nombreuses études ont cherché à quantifier la réduction de l’utilisation de l’automobile induites par l’autopartage. À Montréal, par exemple, il a été calculé qu’un ménage utilisant l’autopartage utilise l’automobile 4 fois moins que des ménages comparables propriétaires d’un véhicule (source : École Polytechnique de Montréal, 2012). Dans sa dernière enquête nationale sur l’autopartage en France (2019), l’ADÈME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) avance que « l’inscription à un service d’autopartage fait, en moyenne, varier fortement à la baisse l’utilisation de la voiture personnelle : -31% de jours d’utilisation. »  Des études comparables ont été publiées dans plusieurs autres pays, notamment en Allemagne et aux États-Unis.

Ceci fait dire à certains intervenants que, sur le plan énergétique, l’autopartage est, en puissance, l’une des mesures les plus efficaces que l’on puisse imaginer pour rendre la mobilité « durable ».

Le fait que les usagers de ces services n’utilisent ordinairement pas l’automobile pour des trajets pendulaires ou les achats quotidiens, par exemple, induit un comportement tourné vers l’écomobilité, c’est-à-dire l’usage des services offerts par les transporteurs publics, le vélo ou la marche. L’attitude qui en résulte est exactement à l’opposé de celle adoptée par la majorité des propriétaires de véhicules.

Réduction de la consommation d’énergie et des émissions de GES

En tenant compte des impacts ci-haut mentionnées, combinés à une utilisation de véhicules moins énergivores que ceux qui sont utilisés par la population en général, il a été calculé au Québec que les habitudes de mobilités induites par l’autopartage se traduisent par une diminution de la consommation énergétique correspondant à une réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de l’ordre de 1,2 tonne de CO2, par personne, par année.

L’avenir

Communauto est aujourd’hui présente dans seize villes au Canada et en France.  Bien qu’il reste énormément de travail à faire pour renverser la tendance lourde en  faveur de la motorisation des ménages, notre action a déjà permis de réduire de plusieurs dizaines de milliers le nombre de véhicules en circulation.

L’engagement de Communauto est de poursuivre sur cette lancée et de faire croître son offre tous en faisant un maximum d’efforts pour rallier un maximum de personnes en faveur de la cause de l’autopartage.

Depuis plus de 25 ans, nos actions ont démontré que l’économie non seulement peut mais se doit d’être mise au service de l’avancement de la société, et non l’inverse.

Cet engagement s’inscrit au cœur de notre mission qui est de « rationaliser l’usage de l’automobile ».

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